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Avertissement

31 janvier 2018

Bienvenu aux Doms


Je constate avec plaisir que parmi mes lecteurs, il n'y a pas que des soumis(es) mais aussi des Messieurs Dominateurs et des Dames Dominatrices.
 

Soyez donc les bienvenus et surtout n’hésitez pas à me faire part de vos suggestions et commentaires, que ce soit sur le blog ou par le formulaire de contact.





Lady Agnès

23 janvier 2018

Découverte de la cage de chasteté par C. (3/3)


Partie 2

Dès la semaine qui suivit, de part la faute de quelques errements de ma part, je me retrouvais de nouveaux en contact avec cette nouvelle venue chez moi … en plus de devoir porter collier et entraves chaînées au niveau des chevilles dès mon retour à domicile et jusqu’au couché, moment où je pouvais me libérer de toutes mes contraintes, cage comprise, avec bien évidement l’interdiction élémentaire de profiter en aucunes façons de la situation.
Toutefois, une différence s’appliquait : l’anneau en silicone jugé trop souple fut remplacé par celui en plastique rigide de ma CB6000.
Mais n’étant pas à une faute près, je me retrouvais, tout en étant, pourtant, déjà en pleine sanction, à contrarier de nouveau et à mon grand regret Lady Agnès.
Je pris alors l’initiative tandis que Lady était déjà couchée, de conserver la cage pour la nuit en signe de pénitence, et ce malgré mon appréhension.
En effet, j’avais déjà eu à devoir conserver ma CB pendant la nuit, mais ce fut un échec, à cause d’une part, des douleurs engendrées par les érections nocturnes et surtout d’autre part par le “cisaillement” dû à cet anneau (oui je dors, du moins je m’endors sur le côté … et de fait il est très inconfortable de dormir ainsi du fait de la pression et le cisaillement exercé par le cockring sur les bourses)
Néanmoins l’heure tardive et la fatigue aidant, je réussis à passer la nuit avec ma cage, malgré les difficultés.
Le petit déjeuner et la douche expédiée, n’ayant toujours pas de nouvelles de Lady, je pris à nouveau l’initiative de partir travailler toujours encagé.
Cette double initiative qui ne se fit pas sans douleurs et problèmes techniques durant non seulement la nuit mais également la journée fut apprécié par Lady qui m’autorisa à me libérer à nouveau au coucher en signe de reconnaissance de ma “pénitence”, à mon grand soulagement.

Suite à cette expérience, Elle me demanda de rédiger ce texte pour faire la synthèse de mes ressentis et éventuelles difficultés afin de lui faire un “bilan” de mes véritables sensations, bonnes ou mauvaises.
Pour résumer, ce dont je lui avais déjà fait part : c’est qu’il me faut reconnaître le pouvoir de contrôle total et puissant que cet “instrument” induit sur tout sujet mâle.
Lady, m’imposait pourtant déjà un contrôle total de jouissance. Son contrôle sur ma chasteté s’appliquait jusque-là sans port de cage. L’ajout de cette sécurité, ou contrainte, selon le point de vue de la personne dominante ou du porteur, n’est pas anodine, je le reconnais. En effet, la sensation de totale contrôle et de dépendance est vraiment exalté, car à tout moment, à la moindre sollicitation, même en dehors de la présence physique de Lady Agnès, je ne pouvais ignorer l’exercice et le pouvoir de sa domination complète sur moi, de façon plus ou moins douloureuse. Le mental et le physique sont rappelés à l’ordre en permanence et votre attention se retrouve de fait recentré en toute circonstance sur votre Dame et sur votre statut de propriété à Son seul et unique plaisir. 
Cette expérience est certes basée sur une relation de totale confiance de Lady Agnès vis-à-vis de ma personne (bien qu’il y a et a eu de nombreuses manières de prouver le respect des conditions d’encagement)
Toutefois, je ne peux cacher qu’il y a eu des difficultés physiques de plusieurs ordres : inflammations, légères blessures cutanée (certes liées à une cage de mauvaise qualité), gênes dans de nombreuse activités du quotidien comme lors de la conduite, lors de certains mouvements, niveau professionnel ou loisir, etc …

Mais je suis totalement confiant en Lady Agnès, car je sais que N/nous partageons une vision commune de la chasteté : à savoir son effet stimulant et bénéfique sur la concentration et l’attention vis-à-vis de sa Dame, en se “réservant” et en conservant toutes ses envies pour Elle et Son plaisir, mais en restant sur des durées raisonnables d’emprisonnement. Car oui, Lady aime voir son mâle soumis en pleine possession de ses moyens et le voir lui rendre ainsi hommage en lui montrant de manière physiologique son grand entrain ! 

Et pour ceux qui se le demanderont : oui, je suis en cage au moment même de la rédaction de ce texte. 
En effet, ce matin j’ai reçu un cadeau de la part de Lady Agnès : une belle boite que j’ai ouverte avec la même impatience que les enfants. Et là, oh surprise : une nouvelle cage de chasteté … mais qui ne fut pas choisie au hasard, bien évidemment !
Ces caractéristiques principales sont de posséder un anneau métallique arrondi d’une seule pièce (nécessite tout de même un peu de gymnastique et de pratique pour l’enfiler) qui permet de verrouiller sa coque (en silicone noir) non seulement en son point central par le cadenas, mais également de part et d’autres par un système d’écrous à serrer sur les guides latéraux équipés de filetages … il semblerait que les inconvénients de souplesse de l’anneau en silicone ainsi que la mauvaise tenue et le cisaillement induit par l’anneau en plastique soit réglés avec cette solution … Le temps nous le dira.

Mais au fait, dites-moi Lady, le hasard faisant bien les choses : ne serait ce pas la journée mondiale de la chasteté masculine aujourd’hui ??!

(écrit le 14 janvier 2018 par C.)

Fin

20 janvier 2018

Découverte de la cage de chasteté par C. (2/3)


Quelque temps après, me retrouvant de nouveau dans “l’antre” de Lady Agnès, je remarquais immédiatement cette autre type de cage, dont la boite était “négligemment” posée à un endroit bien en vue.
L’impact psychologique fit son effet durant tout le week-end, Lady s’amusant à me faire l’article de la fameuse cage contenue dans la dite boite, mais le week-end se déroula de manière, si je puis dire en regard de l’objet en question, de façon tout à fait normale. À savoir qu’à aucun moment je ne dus subir une nouvelle restriction ciblée.

Cependant, les jours suivants, je dus porter ma CB6000 à quelques reprises sur des durées définies.
Mais cette dernière présentait un problème majeur : elle avait tendance à me blesser le prépuce, notamment lors des tentatives d’érections, ce qui me poussa à l’analyser de plus près une fois libéré.
Je m’aperçus que la jointure des deux coques était plus importante qu’avant et que celle-ci comportait encore des “résidus” de lubrifiant séché mal nettoyé. Le simple passage d’un ongle au niveau de cette jointure eu pour conséquence de me retrouver avec deux coques désolidarisées dans la main … Mais comme précisé précédemment, cette cage fut trouvée à prix défiant toute concurrence sur internet, et bien que la boite ressemblait comme 2 gouttes d’eau à l’originale, ne s’agissait-il pas d’une contrefaçon ?
Quoi qu’il en soit, je comprenais mieux du coup mes difficultés à réussir à la supporter, même sur du moyen terme, et pourquoi elle blessait mon anatomie.

Lors de ma visite suivante chez Lady Agnès, la cage en silicone était toujours à la même place … mais plus dans sa boite, parfaitement visible cette fois et prête à l’emploi à tous moments !
Ce modèle était bien plus abordable et permissif pour un néophyte, car il était entièrement en silicone, cage et cockring compris. Et à la lumière de mes mauvaises expériences précédentes Lady me fit comprendre que ce modèle serait idéal pour repartir à zéro dans l’expérimentation de la cage de chasteté.
Très rapidement Lady me fit comprendre qu’il me fallait installer cette prison siliconée dans l’instant. Tout comme la première fois, avec la cage métallique, Lady m’aida à contrer mes réactions physiologiques provoquées par une grande attention porté sur la zone concernée…
La cage posée et quelques “jeux” plus tard, Lady m’indiqua qu’il fallait sortir faire quelques courses. Un moment assez marquant car en plus du port de la cage, il fut décidé de laisser mon collier en place, caché sous un col roulé et une écharpe bienvenue !
Question domination on était à un sacré niveau, pour sur, vu la largeur du collier !
Bref, rien de bon pour m’aider à soulager la “confusion des sens” qui se produisait dans cette bogue siliconée, où tous les repères étaient perturbés : les signes de manifestations d’excitations primaires étant refoulés et muselés aussi sec dans une impossibilité totale de s’exprimer librement.

La sortie en ville se passa néanmoins sans encombres.
Cependant, je dus faire remarquer à Lady, une fois de retour chez Elle, que techniquement il y avait un petit problème lié à la relative souplesse de ce type de cage.
En effet, l’anneau et ses points de fixations gardent une très grande flexibilité et, par conséquence, les poussées de croissance du petit oiseau avaient eu raison des deux axes de guidage de la cage situé de part et d’autre du point de verrouillage. Du coup, cette dernière en devenait bien moins agréable à porter une fois désaxée.
Cependant, je devais reconnaître à ce modèle un confort bien supérieur à celui éprouvé avec ma CB6000, l’anneau en silicone étant bien plus supportable niveau frottement et contact sur la peau. Celui de la CB6000 avait tendance à générer des pincements et des échauffements lors de la marche.

Au moment de se quitter, Lady me fit une “surprise” en m’indiquant que je devais repartir chez moi avec la cage en silicone dans mes affaires : “sait-on jamais…" me dit-elle !

17 janvier 2018

Découverte de la cage de chasteté par C. (1/3)





Sur le net, on trouve des témoignages sur le port de la cage de chasteté. Cependant, je me demande toujours quelle est la part de réel et celle de fantasmes dans ces écrits.
Voilà pourquoi j'ai exigé de C., que j'initie progressivement au port de la cage (pour compléter le contrôle total sur sa jouissance que j'exerce déjà sur lui), de faire un texte dans lequel il explique son expérience, sans édulcorer, sans fantasme, juste la réalité !

Lady Agnès


Le BDSM fait partie de mon quotidien depuis bien longtemps maintenant, sans vouloir paraître prétentieux, j’ai une certaine expérience dans un domaine en particulier : les jeux de contraintes que je pratique depuis longtemps maintenant.

Il n’y a pas si longtemps, j’ai franchi le pas des véritables rapports de Domination/soumission, domaine dans lequel je continue naturellement à faire mon expérience.
Jusqu’à présent, je n’avais pratiqué la D/s que par et lors de jeux de courtes durées, et non dans une relation plus poussée comme aujourd’hui.
Et donc, toujours dans cette continuité de découverte et à la “demande” de Lady Agnès, j’en viens à tester une nouvelle pratique : la chasteté imposée via le port d’une cage… domaine où je suis néophyte, ayant simplement connu quelques expériences de port de cage de très courtes durées et ponctuelles.

Partant de ce postulat et étant donc toujours en phase d’apprentissage dans le registre de la D/s … mais n’est-on pas en phase d’apprentissage permanente dans ce domaine ?! … la chose se fit en plusieurs étapes.

La première expérience avec Lady eut lieu sur la durée d’une “séance” cordes qui ne fut pas dénuée de quelques traitements particuliers qui relevèrent et épicèrent cette session.
Pour une première ce fut du sérieux : une cage massive en métal, du genre qui impose sa présence et se rappelle à votre bon souvenir à tous moments. 
Cumulée aux stimulations de Lady, cette cage fut vraiment redoutable et sans pitié. Je découvrais alors réellement et pleinement les sensations de cette prison si redoutable pour l’appendice masculin.
J’avais beau avoir déjà goûté aux sensations d’une CB6000 en plastique (cage acheté à pas cher sur un site qui a pignon sur rue… ce détail aura son importance, comme expliqué plus tard), les sensations éprouvées ce fameux jour auront été marquantes.
Malgré le fait d’être attaché de manière contraignante, malgré le port de ce large collier en cuir, malgré le fait de subir des tourments que je tairais et tous les autres types de privations de toutes sortes … il y avait surtout cette restriction totale et sans concession qui n’offrait aucune once de liberté ou de répit : cette fameuse cage de chasteté en métal ! Mon sexe essaya malgré tout de s’exprimer autant qu’il put : soulevant de rage au maximum qu’il le pouvait cet intrus castrateur, laissant couler abondamment ses larmes, rien n’y fit, il resta sous une emprise totale et impitoyable.
Tout mon corps était pourtant entravé de manière stricte, mais toute mon attention semblait portée sur la contrainte exercée par ce “simple accessoire”, achevant toutes mes tentatives de quelconques rébellions. La domination de Lady Agnès sur ma personne était totale, Elle me menait à (ou par) la baguette, dans un état de total soumission !
La séance finit Lady, me libéra de cette prison d’acier redoutable à mon grand soulagement.
Je ressentais cette sensation étrange de plaisir intense mêlé à une grande frustration. Le cerveau avait pris sa dose d’endorphine, certes, mais le “physique” restait sur sa faim … mais néanmoins soulagé !
Cette première expérience fut brève mais assez intense.
Comme discuté après coup avec Lady, il est évident que le port de cette cage ne peut s’envisager que sur une courte période vue son poids. Mais je reconnus tout de même sa très grande efficacité et la puissance de son impact psychologique et physiologique.



10 janvier 2018

La punition dans la relation D/s



Définition Wiki
  1. Action de punir, d'infliger une correction à quelqu'un
  2. Châtiment, peine que l'on fait subir pour quelque faute ou quelque crime
Définition Larousse
  1. Action de punir, d'infliger un châtiment, une peine
  2. Peine infligée pour un manquement au règlement   


Posons tout d'abord les choses: la différence entre le simple jeu BDSM et la relation D/s
Dans le simple jeu, les deux partenaires ne sont que "play parteners", ils se rencontrent pour partager des pratiques BDSM sur un instant T. Une fois les jeux terminés, ils redeviennent égaux.
Dans la relation D/s, l'un accepte de se soumettre à l'autre bien au-delà des pratiques, il accepte d'être dominer, de s'en remettre à l'autorité de la Dominante. (promis je développerai un jour le sujet dans un article dédié)

L'autorité étant le pouvoir de commander et d'être obéi, cela implique forcement que lorsqu'il y a manquement ou désobéissance, la
Dominatrice doit agir.
Pour certains, le simple fait de vous avoir déçue sera déjà en soit une punition mais bien sur cela ne peut pas toujours suffire à ce que les manquements disparaissent, il faut donc sévir.
Si elle ne le fait pas, alors la Dominatrice perd tout pouvoir, ce n'est plus elle qui domine mais le soumis qui se soumet quand et comme il le veut bien (certains parleront de "souminateurs").

Comme nul n'est parfait, toute Domina se retrouvera un jour confrontée à une faute commise par son soumis et face la question "Comment agir pour que cela ne se reproduise plus? Quelle réaction avoir?". 

Voici ma position (attention, je ne prétends nullement qu'elle soit la seule à avoir).

Tout d'abord, et ceux qui me lisent régulièrement ne seront pas étonnés de cela, sachez que je n'utilise jamais le terme de "dressage" mais que je préfère parler d’éducation. Ce choix sémantique peut paraitre anodin mais il en dit long sur l’état d'esprit de ma Domination et par conséquent de ma façon de punir.

Une punition 
  1. a pour but de sanctionner un manquement,
  2. de rappeler qui commande, 
  3. doit être expliquée si elle n'avait pas été annoncée en même temps que la règle,
  4. ne doit jamais être infligée sous le coup de la colère ou de l'agacement,
  5. doit être proportionnelle à la faute commise,
  6. et, bien sur, ne pas être agréable.

Les 3 premiers points n'ont pas besoin d’être détaillés, mais les suivants sont plus délicats.


 1- Ne jamais punir sous l'emprise de la colère ou de l'agacement

  Une évidence me direz-vous.. Eh bien, pas tant que cela. Nulle Dominatrice n'est à l'abri de se retrouver hors d'elle à cause du comportement de son soumis (qu'il brûle au fer votre chemisier préféré ou qu'il s'obstine à ne pas intégrer une de vos règles), de la fatigue de la journée, d'une contrariété.
Agir sous la colère c'est le risque de perdre le contrôle de soi, c'est subir l'influence de sentiments négatifs qui brouillent le jugement. Or pour punir de manière efficace et constructive, il faut être parfaitement posée, sensée, je dirais même que plus on est froide plus la punition aura de portée sur le soumis.
Devenir une furie n'est pas un signe d'autorité, au contraire. Mais agir avec calme aura un impact bien plus important et efficace et, surtout, votre soumis vous en respectera d'autant plus, ce qui l’incitera aussi à progresser pour vous plaire.
Pour ma part, si je sens l'agacement monter, j'ai quelques astuces: respirer calmement, si je suis en réel et que cela ne suffit pas, je le renvoie et me calme seule chez moi (c'est plus sûr pour tout le monde dans ces cas-) et si nous sommes en virtuel alors je fais silence le temps de me calmer.


 2- Proportionnelle à la faute commise: (et j'ajouterai graduelle, aussi) 

  Donc en gros, on ne donne pas cent coups de fouet à un soumis qui a renversé votre tasse de café mais on ne donne pas non plus une simple tape sur la main à celui qui a désobéi à un ordre.
En ce qui me concerne, lorsque j'indique une règle, je laisse toujours un droit à l'erreur. Un pas deux!

Je choisis toujours une punition en rapport avec la faute commise, comme je dis "faire payer par là où on a pêché". Par exemple, un soumis qui ne respecte pas le temps de chasteté que j'ai exigé (pour ceux qui ne sont pas en cage), c'est forcement avec la chasteté que je vais sanctionner. Si il  s'agit d'une faute en rapport avec les marques de respect qu'il me doit, alors je trouve une sanction qui lui rappellera ce respect qu'il doit à celle qu'il a choisi pour le dominer.
 En outre lorsqu'un soumis persiste dans l'erreur, alors la punition peut devenir de plus en plus dure. J'en ai eu un qui a fini par très bien supporter de rester à genoux sans bouger pendant plusieurs dizaines de minutes, il a suffit de le prévenir que, la prochaine fois,  je glisserai une règle carrée sous ses genoux pour que cette simple menace soit efficace.


 3- Ne pas être agréable: (être pénible pour faire passer l'envie de recommencer  et être adaptée au soumis)

  Là aussi évidence, mais vous pourrez constater que si certaines punitions sont très efficaces sur certains, elles ne le seront pas du tout sur d'autres.
Certains craignent le fouet, pour d'autres cela peut être un plaisir donc soit vous trouvez autre chose pour sanctionner  soit vous monter l'intensité jusqu' à ce que cela fasse sont effet. Mais en fait, la meilleure façon de sanctionner un soumis qui apprécie les jeux de douleur est de l'en priver...  
tout comme pour punir un soumis qui aime servir, de le mettre immobile dans un coin et de le forcer à regarder un autre que lui servir sa Dame.
Pour certains, à distance, votre silence sera aussi très efficace...

etc... 
À vous de connaitre votre soumis et de vous adapter.

Cependant, n'oubliez jamais une chose, au début de votre relation, votre soumis vous a communiqué ses limites et il est de votre responsabilité et de votre devoir de les respecter. Par conséquent, vous vous devez de choisir une punition qui ne dépasse pas les limites admises par votre soumis sous peine de perdre toute sa confiance et donc aussi son respect, vous exposant ainsi au risque de le voir se rebeller encore plus ou renoncer à s'offrir à vous.

ATTENTION: la punition peut être psychologique, mais ne doit jamais "jouer" avec l'affectif... sinon il s'agit de manipulation pure et simple !



Je finirai par un petit retour sur le premier point qui est sans doute le plus important: la punition a pour but de sanctionner un manquement. Elle doit donc être totalement justifiée. Sinon vous êtes juste une personne qui prend plaisir à se défouler sur l'autre et telle n'est pas une vision de la Domination à laquelle j’adhère. 



 Conclusion

 Vous l'avez donc compris, la punition est indispensable mais bien délicate. Elle aide le soumis à progresser. Elle doit donc être parfaitement choisie afin d'être efficace
Mais n'oubliez jamais, la punition révèle avant tout quelle Dominatrice vous êtes. 
Tout comme votre capacité à encourager, à féliciter et/ ou à récompenser votre soumis lorsqu'il vous satisfait (oui oui , c'est ce que l'on appelle le renforcement positif et cela aussi le fera progresser).




Lady Agnès 
 


ICI le témoignage d'une esclave punie sur un autre blog