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22 novembre 2017

Prégador donne la parole à ... une Dame Dominante



Prégador, un bloggeur dont je vous ai déjà parlé, m’a proposé, il y a quelques semaines, de participer à une interview qu’il faisait auprès de plusieurs Dames Dominantes (la plupart avec lesquelles il communique depuis quelque temps).


Je partage avec vous mes réponses à ses questions, ce qui vous permettra de mieux me connaître. Et il est fort possible que certaines de ces réponses soient un jour développées dans un article.
(pour lire les réponses des autres Dames, voir ici)



Présentation de Lady Agnès :
45 ans et célibataire. J'ai déjà vécu en couple « vanille » par le passé.
J’ai toujours été de caractère dominant mais découverte du BDSM en Février 2016. 
Je soumets des hommes pour le moment, mais ne suis pas fermée au fait d’avoir un jour une soumise (même s’il faut bien le reconnaître quand je les lis sur Facebook ou que je les vois en munch, je les trouve très chiantes et pas moins égoïstes que les hommes). Je sais pourtant que ma Domination serait différente avec une demoiselle d’avec un soumis mâle, car, contrairement d’avec eux, j’ai besoin d’avoir un lien affectif avec une demoiselle pour avoir envie de la Dominer (ce qui est cohérent avec mon état d’esprit nuancé entre hommes et femmes sur le plan sexuel dans ma vie « d’avant »).
Jusque-là, des séances mais l’envie réelle d’une relation D/s profonde (un premier essai a échoué, car « mauvais casting » ) et pourquoi pas d’une vie de couple avec un soumis (encore faut-il que je rencontre celui avec qui l’alchimie se crée).


Questions / réponses:


Prégador : Qu’apporte la domination à la femme que vous êtes ? (au quotidien, dans vos relations professionnelles ou autres, pour votre épanouissement personnel, etc.)
Lady Agnès : J’ai toujours eu le sentiment qu’il me manquait quelque chose dans mes rapports avec les hommes, toujours eu le sentiment qu’une part de moi ne pouvait s’exprimer. Depuis que je domine je me révèle et surtout je suis enfin totalement moi-même.
Je crois que c’est un peu comme pour tout autre chose, du moment que l’on est soi-même pleinement, que l’on s’épanouit totalement, on est forcément bien mieux dans sa “peau” et cela se répercute sur tous les aspects de la vie.
Je dirais donc que cette révélation m’a rendu plus épanouie et (en général) plus sereine aussi. Ce que même mon entourage familial a remarqué.
Je suis aussi devenue encore plus sûre de moi.
Je ne manquais déjà pas d’assurance mais parfois certaines situations, certaines personnes pouvaient « m’impressionner » ; maintenant, ce n’est plus le cas. Quand vous avez votre directeur qui essaie de vous impressionner et que vous l’imaginez à quatre pattes à vos pieds, il devient bien moins impressionnant. ;-)


Prégador : La société évolue actuellement, le rapport aux femmes aussi. Les langues se délient suite à l’affaire Weinstein et des révélations de toutes parts affluent provenant de femmes harcelées par d’autres hommes. Pensez-vous que la domination féminine comme norme serait une réponse salutaire aux maux de notre société trop phallocrate et machiste ?
Lady Agnès : Je ne crois pas du tout en une société dirigée par les femmes. En fait, au niveau sociétal, je suis pour une réelle égalité de droits entre hommes et femmes… ce n’est pas en créant un déséquilibre inversé que les choses pourront s’arranger selon moi… le monde est peuplé d’êtres humains divers et variés, chacun doit y avoir sa place.
Je suis parfaitement consciente que les hommes ont encore beaucoup à progresser dans leurs rapports aux femmes. Il est évident que leur cheminement n’a pas été aussi rapide que l’émancipation des femmes et qu’il reste encore beaucoup à faire, malheureusement !!!


Prégador : Quelle est votre approche ou votre vision de la pratique de la féminisation de votre homme soumis ? Et qu’est ce que cela vous apporte ? 
Mêmes questions avec la chasteté imposée à votre homme soumis. 
Idem avec la discipline domestique (au quotidien bien sûr).
Lady Agnès :
Féminisation:
J’ai plusieurs approches sur ce point, tout dépend du profil du soumis :
– L’une juste pour la simple humiliation ; dé-masculiniser un soumis me permet de lui faire comprendre que je n’ai que faire de sa pseudo-virilité. Par contre, je ne recherche pas le grotesque de la féminisation.
– L’autre a pour objectif de lui permettre d’exprimer une autre part de lui, ce que l’on pourrait schématiser comme la part féminine. Dans ce cas, je peux accompagner un soumis qui aime être transformé en femme. Cela va renforcer la complicité dans la relation, car il voit que j’accepte totalement ce qu’il est.
Face à un soumis féminisé et si son corps est fait pour cette pratique, je deviens… comment dire… bon allez, osons le dire : en rut… Impossible pour moi de résister à l’envie de le plaquer contre un mur, de soulever la jupe et de m’introduire en lui. Je me régale de cette possession et d’entendre leurs gémissements de « femelle en chaleur ».
La chasteté imposée:Chasteté imposée = Contrôle le plus puissant sur le soumis. Quand on sait le nombre de fois qu’un homme pense au sexe dans une journée, quand on sait le nombre de fois qu’ils ont envie de se satisfaire, se dire qu’à chacune de ces pensées, ils penseront « je n’ai pas le droit » c’est autant de moments où ma Domination sur eux se rappelle à leur bon-souvenir.
La chasteté imposée c’est aussi pour moi un autre moyen de dé-masculiniser le soumis :
– une forme de transformation en « femelle » qui n’a plus de pénis mais un clitoris et une « chatte »
– De lui apprendre une autre forme de sexualité plus « féminine », qui n’est plus axée sur son pénis mais sur ses autres sens, sur les autres parties de son corps. En apprenant cela il apprend donc comment donner plus de plaisir à sa Dominante… s’il n’a plus de sexe pour pénétrer, il doit faire preuve de plus d’effort, d’imagination pour donner du plaisir autrement.
Discipline domestique :
Premier point, la discipline domestique et quotidienne permet de toujours garder présent dans l’esprit du soumis quelle est sa place (même s’il peut être aussi le compagnon de vie)
Deuxième point, il y a des choses à faire dans une maison, des choses incontournables. S’il y en a certaines que je préfère faire moi-même, car elles relèvent pour moi du loisir (ex : bricolage) d’autres bien qu’utiles et indispensables me paraissent chronophages.
Qu’un soumis me décharge de certaines tâches a l’avantage de me dégager du temps pour faire d’autres choses qui me tiennent à cœur.
Et si un soumis me dit qu’il s’agit de basses besognes alors je réponds « depuis quand veiller au bien-être et au confort de sa Dame est-il une basse besogne ? »


Prégador : Quels sont les clichés de la dominatrice que vous exécrez le plus ?
Lady Agnès : La Domina hautaine froide qui passe sa vie entourée de soumis à ses pieds pour la servir et qui, bien sûr, a suffisamment d’argent pour ne pas avoir à travailler et vit dans un lieu luxueux…(mais ça je l’ai déjà écrit sur mon blog).


Prégador : Dans « 50 nuances de Grey », le dominant est un cliché bien contemporain (pouvoir, argent, jeunesse, physique de bellâtre… bref, un Macron bis); la femme n’échappe pas aux stéréotypes non plus (vierge, innocente, étudiante, naïve, romantique, bref, la proie idéale à manipuler); si vous deviez écrire la version féminine de ce livre, c’est à dire avec la femme comme Dominante, comment décririez vous dans les grandes lignes les 2 personnages (Dominante et soumis) ?
Lady Agnès : Une version Dominante/soumis risquerait de tomber dans les clichés que justement j’exècre…
Après il y a une série de livres que j’aime bien : D comme Domina (et les volumes suivants).


Prégador : Un paradoxe lié à la domination féminine me taraude depuis toujours : la femme Dominante qui aspire à vivre cet art en couple a le désir légitime d’éduquer son homme soumis et donc d’exercer un contrôle plus ou moins exhaustif à terme; mais bien souvent elle souhaite malgré tout que son homme conserve son caractère, surtout si celui-ci est assez fort, voire rebelle. Le souci est que cela remet en question votre autorité, au-delà du « jeu » engendré par la provocation de l’homme, et donc certaines incompréhensions profondes voient parfois le jour.
Avez -vous conscience de la difficulté pour l’homme soumis à trouver sa place du fait de ce paradoxe
 ? Mais puisque par ailleurs vous bannissez l’homme carpette de base, ne serait-ce pas au fond une quête utopiste que cet art de vivre ? Je noircis le trait volontairement, bien entendu.
Lady Agnès : Personnellement, je ne recherche pas la rébellion chez un homme, encore moins soumis. On peut ne pas être rebelle, tout en ayant du caractère et ne pas être carpette. Que l’homme soit fort, solide et sache se montrer un soutien aussi, oui ; qu’il discute Mon autorité, non. Après tout est affaire de goûts personnels.
Je pense que la question du paradoxe ou de la difficulté de la quête ne se pose pas, car en fait il doit s’agir d’une rencontre entre deux personnes et comme dans toute relation de regarder chacun dans la même direction, d’avoir envie de partager le même chemin de vie.
Prenons un exemple « vanille », si la femme veut des enfants et l’homme pas, il y a peu de chance que le couple fonctionne à long terme… dans un couple D/s c’est pareil, deux personnes complémentaires doivent se trouver tout simplement.
Je considère aussi que la relation même D/s doit se construire à deux ou, plus exactement, en fonction des envies de la Dame et des capacités du soumis…un équilibre à trouver, une alchimie à créer…
Et ne jamais oublier de communiquer !


Prégador : Que répondez-vous à ceux qui affirment que dans une relation de Domination/soumission (D/s ou SM), le vrai dominant est en fait la personne qui se soumet ? Attention, je ne parle pas du « souminateur » qui arrive avec ses gros sabots, mais plutôt de l’aspect beaucoup plus implicite et psychologique de cette réflexion. J’ai souvent lu ou entendu ce contre-sens en apparence. Je suppose que cela froisse un peu votre égo…
Lady Agnès : (le souminateur n’arrive pas toujours avec des gros sabots).
Il n’y a des Dominantes que s’il y a des soumis, donc d’une certaine façon celui qui se soumet contrôle aussi la relation d’autant qu’il a la possibilité de dire stop (ce propos est aussi valable pour les esclaves consentants dont le seul droit est tout de même de quitter la relation)… cependant, c’est à la Dominante de faire en sorte d’user de son autorité avec intelligence et savoir-faire, sans franchir trop vite les étapes et les limites du soumis afin de l’amener toujours plus loin vers Ses envies à Elle sans que celui-ci n’ait envie de dire stop.
Cela ne froisse absolument pas mon égo, car, comme tu le sais déjà, j’ai gardé dans la Domination des valeurs qui me sont essentielles : comme le respect mutuel. De plus, je ne suis pas le genre de Domina qui se considère comme une Déesse omnipotente.
Après quand un soumis se met à mes pieds, il a fait son choix, il doit donc l’assumer!!


Prégador : Si je vous dis « relation D/s (et SM) idéale », quels mots vous viennent à l’esprit, sans réfléchir ? (je sais, ce n’est pas évident pour vous de ne pas réfléchir, mais un effort, allons… ^^).
Lady Agnès : Partage, complicité, communion…mais c’est Moi qui décide !
(j’aurais pu ajouter confiance et respect mais, soyons logique, les trois premiers ne peuvent exister sans ces 2 là.)


Prégador : Si demain vous deviez arrêter le SM et/ou la D/s, qu’est-ce qui vous manquerait le plus ?
Lady Agnès : Tout !!!!! même si je n’ai pas encore tout essayé, pas encore tout vécu dans ce domaine…
En fait, c’est surtout à moi même que je manquerais, il m’est devenu impossible de mettre de côté cette part de moi, même quelques jours. Sans doute pour cela que j’ai fini par en parler à une partie de ma famille.


Prégador : Qu’auriez-vous envie de dire à votre homme soumis actuel, ou à celui à venir ?
Lady Agnès :
Réponse pour le cas d’une vie de couple avec un soumis :Je suis une Femme Dominatrice, les deux notions sont indissociables : « aime et respecte la Femme autant que la Dominatrice ».
Réponse pour soumis autre : idem sans la notion d’amour
J’ajouterai aussi, une Femme Dominatrice a autant besoin de soutien et de tendresse que toute autre Femme (enfin, c’est mon cas)


Prégador : Dernière question : ça vous a plu? 
Lady Agnès : Intéressant… force à mettre des mots sur des ressentis, surtout pour moi qui suis encore « récente »…




Merci à Prégador de m'avoir donné la parole sur son blog.

Lady Agnès


5 commentaires

  1. Bonjour Madame,je tenais a vous remercier pour cette inetrview sur votre Blog ou vous exprimez fort bien et en toute intelligence les rapports Domi/Soumis.Vous savez mettre en avant les aspects concrêts de ce type de relations et sortez des clichés.Un passage m'a particulièrement interloqué.Lorsque vous évoquez le soumis qui fait une croix sur son pénis pour se retrouver avec un vagin (je simplifie énormément),est ce là une allégorie ou est ce que l'opération du soumis est quelque chose que vous envisagez?Et enfin quel plaisir de sentir cette pulsion qui vous anime face à un homme féminisé......je crois que c'est la chose qui me manque le plus mais Madame n'est pas "branchée" par ces jeux et je me refuse à entamer une carrière de souminateur! 😉 Merci encore Dame Agnès et belle journée!

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    1. Je n'ai nulle intention de castrer physiquement le soumis.
      Sinon où serait le plaisir de le frustrer et de jouer de sa frustration? Qu'aurait il aussi à gagner si je le castrais, plus de motivation à vouloir être libéré....

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  2. bonjour Maitresse, tout d abord je Vous présente mes respects comme Vous me l'avez appris. Je trouve cette interview très belle et cela m'a rappelé ce que j'ai vecu à Vos pieds. Vous êtes une Dominatrice extraordinaire qui fait ca par passion et surtout par mode de vie tout comme j'ai besoin de me soumettre pour trouver un équilibre dans ma vie de tout les jours.
    Je m'incline à Vos pieds, a bientôt
    soumis Julien

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  3. J’ai bien aimé cette petite interview qui pour moi en dis plus long sur vous que votre présentation « de basse », cette article au final est plus complet. Ça permet au final de mieux vous cerner et de savoir « votre façon de penser/fonctionné »


    Par rapport au premier biais que j’ai lu, je n’ai aucune surprise mais j’en sais un peu plus sur vous. L’article est fort intéressant je partage encore une fois entièrement votre vision globale des choses, alors pour le plaisir :


    «Je ne crois pas du tout en une société dirigée par les femmes. En fait, au niveau sociétal, je suis pour une réelle égalité de droits entre hommes et femmes… ce n’est pas en créant un déséquilibre inversé que les choses pourront s’arranger selon moi… »


    C’est plaisant à lire. Je partage cette avis, les Femmes au pouvoir ne représente pas l’évolution puisque le même schéma patriarcale deviendra du coup matriarcale. Les mêmes problèmes et injustice se poseront tôt ou tard. La vrai évolution serait une égalité mais peut être que c’est une vision utopique vu le nombre de siècles que l’humain court après et que d’une certaine façon en 2018 j’ai + un sentiment d’inégalité toujours plus grande que d’égalité justement. (si on ne prend pas que le sujet homme/femme mais qu’on voit la chose de manière plus globale)


    Je dirais une citation modifier (car je l’aurais préférer ainsi) pour faire échos a cela « Les femmes qui veulent devenir ce que sont les hommes, manque cruellement d’ambition. »

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  4. Pour être constructif et ne pas dire simplement êtes d’accord sur tous, je réagirais sur cette écrit :

    « celui qui se soumet contrôle aussi la relation d’autant qu’il a la possibilité de dire stop (ce propos est aussi valable pour les esclaves consentants dont le seul droit est tout de même de quitter la relation)… »


    C’est peut-être la seule phrase sur tous l’article sur lequel je ne suis pas forcement d’accord, je vais chipoter un peu car c’était pas du tout le sujet de la question et de l’article mais je pense que ça peut susciter un peu un débat.


    Je n’ai rien à redire sur le soumis par contre ce qui me dérange souvent dans notre milieu c’est le mot « esclaves » car si il a tout de même le droit de quitter la relation c’est pour moi au final …. Un soumis consentant. Ni plus ni moins.

    Un esclave consentant pour moi n’existe pas non plus, par définition un esclave n’a aucun droit donc aucune ne limite. Il est un objet. Même si le mot donne une consonance de soumission forte, je suis personnellement TRES fière d’être un simple soumis car et la ca va à l’encontre de vos « envies » un esclave au final c’est un soumis pot de fleur ou mobilier dénué de personnalité, dans le cas contraire c’est un soumis avec ces limites qui offre un/son abandon consentis.



    Pour moi le terme « esclaves » c’est comme si une Maitresse disait « je suis une Déesse » c’est un mot qui me dérange et qui pour moi démontre surtout un souci d’ego (si on ne connaît pas la personne) ou de vouloir paraitre «supérieur ». Des mots qui ont tous leur sens et leur place dans l’intimité, car oui j’ai déjà eu la sensation d’avoir eu une Maitresse que je considérais comme une Reine ou Déesse mais moins dans un cadre public.

    Si un Top viens a un munch se présenté à tout le monde a la recherche de bottom dire « je suis un dieu » tout le monde rigolerais tant Top que Bottom. Moi je perçois la même chose quand un(e) soumis dit « moi je suis un esclave ».


    Je conclurais par dire que l’esclavage n’est pas non plus un truc « cool » ou « chouette » c’est un peu comme le « viol », ces mots peuvent choque certain surtout si ils ont été de réel victime du dit mot. Attention je ne dis pas que les mots sont à bannir, ce sont des mots crus qui présente une soumission extrême qui peut pimenter un jeu si les deux parties savent que c’est consentis et dans le respect des limites. (A titre personnel ces mots ne me dérange pas.)


    Seulement comme je viens de le dire le mot «jeu » est lancé. Du coup ces mots ne colle pour moi pas dans des discutions « sérieuse ». Ce sont de mots certes jolis et poétique de façons D/s mais qui pour moi font « tache » dans des discutions plus profonde sur le sujet.


    Je ne dis pas que cette article n’est pas sérieux là je parle du sens large de ce que le mot « esclave » m’inspire. Puis surtout j’avais envie de développer une potentiel idée (car vous n’en parlez pas vraiment, c’est moi qui développé le sujet de mot déjà écrit entre parenthèse) avec lequel je ne suis « potentiellement » pas d’accord avec vous histoire de changé un peu du « je me reconnais dans vos propos » lol. J’espère que vous ne prendrais pas mal ce commentaire, il n’y a rien de malveillant dans mes propos autre que le simple faite de vouloir ricoché sur un mot et de développer mon ressentis sur le sujet (qui n’étais pas le sujet de l’article)

    Bonne continuation, très bon blog et bon weekend end à tous.

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