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29 septembre 2016

Le martinet (par Lady) 1/2



J’avais une terrible envie de flageller.

Cela me prend parfois, comme ça… ça ne s’explique pas… ou plutôt si… je n’avais pas joué du martinet depuis plusieurs semaines. Du moins, pas avec l’intensité que j’aime tant.

Le petit soumis débutant qui venait me voir ces dernières semaines était du genre douillet, alors il fallait que je me retienne, que je ne l’abîme pas trop, ni trop vite… mais il y a quelque chose de frustrant à retenir son bras. Heureusement, j’avais eu l’occasion de le punir et j’ai aimé voir les marques laissées par ma cravache.

Mais même si les punitions sont indispensables, surtout lorsqu’il s’agit d’une transgression à des règles de sécurité (et dans ce cas, mon bras devient terrible), ce n’est pas ce que je préfère…

Non, ce que j’aime c’est la flagellation “plaisir”, celle que j’inflige uniquement parce que j’en ai envie. Une bonne flagellation sur un cul qui se trémousse entre douleur et plaisir, il n’y a rien de meilleur.

J’avais donc cette envie depuis quelques jours. Mais quand cette envie me prend, elle est parfois si intense que je sais que je vais avoir la main lourde. Je contactais donc Clara par mail pour lui parler de cette envie, espérant vivement que cette femelle que je n’avais eu entre les mains qu’une seule fois jusque-là, serait suffisamment courageuse pour avoir envie de me satisfaire. Et ce fut le cas. En parfaite femelle soumise, elle se porta volontaire, bien décidée à apprendre à subir mon sadisme.

Elle est arrivée quelques minutes en avance, ce qui montrait sa motivation. Généralement, je n’ouvre pas ma porte avant l’heure dite, quand je dis 19 h, c’est 19 h ni avant ni après… mais parfois il m’arrive d’être “gentille” et d’encourager la motivation… je ne l’ai donc laissé attendre que 5 minutes avant de lui ouvrir.

Sachant ce que j’allais lui faire endurer, j’ai décidé de retenir mon impatience et de lui laisser le temps de se glisser dans sa seconde peau… sa peau de femelle soumise… Pour qu’elle soit endurante, il fallait qu’elle soit dans le bon état d’esprit.

Changement de tenue, un peu de service et finalement, le moment venu.

Après quelques soucis d’intendance avec mon nouveau jouet qui n’ont fait que rajouter à mon impatience, la voici enfin telle que je la veux, accrochée à ma porte, jambes entravées.
Quel délice de la voir ainsi offerte, à ma merci.

La féminisation lui va à merveille et cela a le don de déclencher chez moi des envies quasi sauvages… une sorte de voracité, que je dois retenir pour mieux savourer l’instant.

Je la caresse, vérifie qu’elle est bien dans l’état dans lequel je la veux, excitée au possible. Et soudain, d’un geste sec, je descends sa robe par ses épaules. Son dos est dénudé, juste un instant avant que le tissu ne s’échoue finalement sur le sol à ses pieds. Le corset que je lui ai mis lui va à ravir, il met encore plus en valeur son petit cul si délicieux de femelle. Mes mains le parcourent, j’en prends toute la mesure.

La mettre en position d’attente, l’abandonner un instant, m’éloigner pour faire monter en elle la tension et le temps pour moi de choisir l’accessoire. J’hésite un instant : le petit paddle en cuir ? Le grand ? Un de ceux en bois ? Ce sera une simple brosse à cheveux. Le dos de cette brosse est bien plat et je sais qu’il n’est pas “trop” terrible.


1 commentaire

  1. La féminisation permet en effet de se mettre dans un certains contexte que j'apprécie beaucoup LADY

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