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10 mars 2017

Vibrations en tout genre (par friandise) 1/3



  J’aime être sous Votre emprise, Vous le savez. Me retrouver par un signe, par un geste, par un mot à genoux devant Vous. Devenir Votre friandise, prêt à m’offrir à Votre gourmandise. C’est à chaque fois le même plaisir pour moi de me dévêtir sous Votre regard, de Vous présenter mon hommage et de recevoir le collier que Vous avez pour moi. C’est aussi à chaque fois le même plaisir de savoir que quelque chose de totalement inattendu m’attend auprès de Vous.

  Justement, cette fois, Vous avez décidé que j’allais Vous parer d’un certain nombre d’atours pour ne pas dire tous Vos atours. J’ai ainsi eu le plaisir de Vous déshabiller en partie, de pouvoir admirer Votre corps. Puis, Vous m’avez laissé le choix entre certaines tenues de ce que Vous alliez revêtir. Connaissant, mon goût, Vous me proposiez des pièces en cuir, mais aussi d’autres avec une autre matière. Cela a été le cas donc pour le corset que Vous alliez mettre, mais aussi pour la jupe. Je vous ai ainsi habillé pour ces deux accessoires, ainsi que les bas que j’ai fait glisser le long de Vos jambes. J’y ai mis toute mon application, essayant de Vous servir au mieux, prenant compte des conseils présents et passés, et finalement content des remarques positives que Vous m’avez faites, même si tout n’était pas encore parfait. Pour finir, j’ai pu glisser une paire d’escarpins sur Vos pieds. Vous étiez prête pour la suite et je ne savais toujours pas à quelle sauce Vous alliez me dévorer. Mais à voir Votre regard, je savais que cela serait avec délice pour Vous.

  Nous sommes repassés dans la pièce principale où à genoux, je Vous ai vu sortir ma cagoule en cuir. Voilà un accessoire que Vous n’aviez jamais utilisé avec moi. Or, pour en avoir parlé ensemble, Vous connaissiez mon goût pour cet accessoire. Non seulement, par l’effet de compression, de restreinte qu’il peut procurer, mais aussi, en me dépersonnalisant, il me rend d’autant plus libre d’être ce que je suis puisque mon image ne se reflète plus justement. Alors, la cagoule a glissé le long de mon visage. Doucement, nécessairement doucement, car elle est étroite même avec les lacets bien desserrés. Sentir alors cette contrainte s’installer, entendre les crissements le long de ma tête du cuir qui glisse avec un son qui semble accentuer dedans, alors qu’il est atténué à l’extérieur, voilà un plaisir qu’il m’est difficile d’expliquer, mais qui pour moi reste très fort. Et puis, une fois installée, sentir les lacets se resserrer, ajouter encore à la contrainte, et enfin apparaître devant Vous. Être moi, et en même temps n’être plus moi. Mon visage a disparu derrière ce masque et un certain nombre de barrières, que le visage pourrait encore créer, peut disparaître.

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partie 2/3  

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