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18 avril 2018

Le rêve d'un soumis


Ceci est le texte d'un "candidat", il s'agit comme le titre l'indique de son  rêve.... donc pas réel


  

  Je me réveille dans ma cage, j'y ai passé la nuit (attaché ou non, au bon vouloir de ma Maîtresse). Bien sûr je porte mon habituel collier de soumis et mon sexe est prisonnier de mon inséparable cage de chasteté. Du coin de l’œil j'observe ma Maîtresse se réveiller doucement. 

  J'espère qu'elle va venir me chercher afin de que nous passions un moment ensemble sous sa couette. Je me tais, j'attends, j'observe, j'espère. Parfois elle est disposé à m'y accueillir, parfois non. Quand j'ai la chance d'être autorisé à passer un peu de temps avec elle dans son lit, c'est pour répondre à ses désirs et ses plaisirs. Elle fait ce qu'elle veut de moi. Point barre. Moi je n'ai qu'à attendre dans l'espoir qu'elle me libère temporairement de ma cage de chasteté et qu'elle daigne utiliser mon sexe. Ou bien qu'elle décide d'elle-même, et pour elle-même, d'une stricte condition de soulagement. Elle le fait de temps en temps, pas forcément très souvent... 


  Ensuite, elle me demande d'aller à la boulangerie chercher ses viennoiseries préférées pour le petit-déjeuner. Je m'exécute. Mais avant de partir, alors que je m'approche d'elle pour qu'elle me libère de mon collier de soumis, elle m'adresse une petite caresse sur la joue et, en me fixant dans les yeux, elle me dit "Allons... Le temps d'un aller-retour à la boulangerie tu peux bien me faire le plaisir de garder ton collier, non ? Caché sous ton écharpe personne ne le verra et ça ne fera qu'augmenter à la fois ton excitation et ton envie de revenir au plus vite"...


  Ma Maîtresse prend son petit-déjeuner seule, tranquillement, en écoutant de la musique. Moi, je mange un croissant à ses pieds, à même le sol.
Je suis ensuite autorisé à aller me doucher. Le temps de ma toilette, ma Maîtresse m'a enlevé ma cage de chasteté. J'ai une féroce envie de me soulager mais je sais que si je le fais sans son autorisation je vais autant m'exposer à une sévère punition que la décevoir. Et ça, je ne veux pas. Elle seule décide ce qu'il advient de mon sexe les rares fois où il est libéré de sa cage de chasteté... C'est dur, mais c'est ainsi. Et j'aime ça.


  Sitôt ma douche prise, ma Maîtresse me remet ma cage de chasteté. Instant court et long à la fois, mêlant la frustration à la dévotion et à l'abandon. Elle m'a réservé une matinée de ménage. J'ai une liste de tâches ménagères bien précises à faire. Comme souvent en sa présence, ma Maîtresse m'a préparé ma tenue. Je vais donc faire le ménage en portant un collant blanc soigneusement découpé à l'entrejambe, des bottes noires à talons hauts, une petite robe noir en latex, des longs gants en latex, et une cagoule (elle aussi en latex) ouverte au niveau des yeux et de la bouche. Une fois la cagoule enfilée ma Maîtresse me remet mon collier autour du cou. Elle décide également de me mettre un bâillon harnais de tête, histoire dit-elle de s'assurer que je me taise pendant qu'elle lit tranquillement sur son lit et que moi je m'affaire aux tâches ménagères... Mes chevilles sont également reliées par une chaîne cadenassée, de même que mes poignets. La chaîne est juste assez longue pour ne pas m'empêcher d'accomplir mes tâches...

  
  Le ménage dure deux bonnes heures...  Pendant ce temps-là ma Maîtresse lit dans sa chambre. Une fois les tâches terminées (et inspectées) ma Maîtresse me demande de lui faire couler un bain, puis, le temps qu'elle profite de celui-ci, elle me remet dans ma cage. Histoire que je me tienne à carreaux pendant qu'elle se prélasse. Elle ne prend pas le soin de m'enlever ni mon bâillon, ni mes chaînes. J'aime sa sévérité. "Repose-toi quelques minutes me dit-elle"...
Elle ressort de la salle de bain une petite heure plus tard. Elle vient me chercher dans ma cage. Elle est magnifique. Elle a choisi de porter une tenue diablement excitante à mes yeux, mais elle est aussi très classe et élégante. Je n'ai qu'une envie c'est de lui caresser ses jambes recouvertes de collants noirs très brillants... Je sors de ma cage tant bien que mal. Elle enlève mon bâillon, me détache poignets et chevilles, puis elle m'ordonne d'aller me déshabiller et de mettre une tenue plus conventionnelle afin que nous allions déjeuner au restaurant. Je m’exécute et je revêts un jean, une chemise et une veste. Pour cette sortie, je ne porte pas mon collier. Par contre, j'ai mon inévitable cage de chasteté et ma Maîtresse décide de pimenter les choses en m'imposant de porter un plug.


  Nous passons un délicieux moment au restaurant. Nous discutons de choses et d'autres, de la vie, etc, etc... Comme un couple "normal" en apparence. Je suis bien avec elle. En toutes circonstances. Cependant jamais je n'oublie que même si le contexte est "ordinaire", je suis plus soumis que jamais à cette femme qui me fascine... Une fois le déjeuner achevé, nous poursuivons la journée par une balade. Il fait frais mais beau, c'est agréable. Nous en profitons pour faire le point sur notre relation, pour parler de la semaine à venir, etc... Elle prend soin de me poser quelques questions sur ma condition de soumis. Elle s'assure de mon épanouissement. J'aime son petit ton sec mais complaisant... C'est une Maîtresse dure mais attentive. Je ferai tout pour elle. tout pour être le soumis qu'elle désire.


 
Puis vient l'heure de rentrer.. Comme à chaque fois que nous rentrons, je me mets à genoux dans l'entrée et elle me remet mon collier. Elle y ajoute une laisse et me fait traverser l'appartement en me tirant à quatre pattes. Je me régale du spectacle de ses jambes recouvertes de ces collants noirs si brillants. Elle se positionne dans le canapé et me demande de lui masser les pieds et les jambes. Quel bonheur !

-"Dans combien de temps dois-tu partir ?" me demande-t-elle.
-"Dans deux heures Maîtresse". 
- "Très bien ! Entre le restaurant et la balade ça fait un petit moment que je ne me suis pas occupé de toi... Nous allons donc terminer en beauté avant que tu ne repartes".
Il ne faut pas plus de cinq minutes pour que je me retrouve attaché sur un tréteau à l'aide de cordes. Impossible pour moi de bouger.
- "J'aimerais que tu repartes les fesses bien rouges" me dit alors ma Maîtresse. "Histoire que pendant quelques jours tu te souviennes de ces 48h en ma compagnie".
  Je goûte donc sans attendre à la souffrance et au plaisir du martinet. Ma Maîtresse s'en donne à cœur joie. Et chose promise chose due, mes fesses sont rougies pour un petit moment !
Me laissant attaché dans la même position, elle vient ensuite à ma hauteur et me bâillonne en me glissant à l'oreille "tu as su tant bien que mal rester silencieux quand je t'ai rougi les fesses à coup de martinet mais là je doute que tu réussisses à garder le silence... Alors comme ça, avec ce bâillon, il n'y aura pas de soucis"... Elle termine avec un petit rire narquois... Que va-t-elle me faire ?
Elle repasse derrière moi et me caresse les testicules histoire de bien exciter mon sexe emprisonné dans sa cage. Elle revient ensuite devant moi et enfile sous mes yeux un imposant gode-ceinture. Je comprends mieux pourquoi je suis bâilloné...
  À grands coups de va-et-vient ma Maîtresse me sodomise de longues minutes puis me détache. Je m'écroule à quatre pattes, littéralement épuisé... 

  
À peine le temps de souffler et de reprendre mes esprits qu'elle s'approche de mon oreille et me sussure "changement de bâillon !" Elle me met ensuite un bâillon-gode et me fait coucher sur le dos. Elle cherche à m'exciter à nouveau en montant sur moi et en caressant mon sexe emprisonné avec ses jambes "encollantées"... "À mon tour de m'envoyer en l'air" me dit-elle. Puis elle ajoute en me torturant un peu le sexe et les testicules "mais sûrement pas avec ton petit sexe de soumis, ça tu peux rêver. Il reste en cage !". Son rire une nouvelle fois narquois dure quelques secondes... Le temps pour elle de se déshabiller et de venir s’empaler sur mon bâillon gode. Je la vois prendre son pied sur mon visage, seule. C'est à la fois frustrant et excitant pour moi, tout ce que j'aime... Je suis son soumis, je lui appartiens, elle fait ce qu'elle veut de moi...

  Au moment de repartir, je me rhabille, elle m'enlève mon collier et nous nous enlaçons. Nous venons de vivre des instants magiques, je l'aime et lui appartiens corps et âmes. Je rentre chez moi triste de devoir la quitter mais heureux d'appartenir à une Maîtresse comme elle. Vivement la prochaine fois... Mais d'ici là, même à distance, croyez bien que je reste plus soumis que jamais... D'ailleurs à peine suis-je arrivé à ma voiture que je sens mon téléphone vibrer. C'est un SMS de Lady Agnès...  

Mister N


10 avril 2018

Scène « ordinaire » de la vie quotidienne




  Il m’avait dit qu’il avait envie de voir ce film et je lui avais proposé que nous le voyons ensemble lors de sa prochaine visite.
Je l’ai autorisé à s’installer près de moi sur le canapé. Je sais qu’avec lui ce genre de dérogations aux règles ne modifie en rien son état d’esprit à mon égard, le respect qu'il me porte ne découlant pas seulement de tous ces éléments de discipline et de « dévotion » que j’exige.

 Quelques minutes avant la fin du film, je me saisis de l’anneau à son collier et le guide pour qu’il pose sa tête sur mes genoux. J’ai envie de ce contact, j’ai envie d’un de ces moments de douceur qu’il me plaît de partager avec lui. Il est de ces personnes qui savent recevoir mais sans vampiriser, connaissant la valeur d’un geste tendre donné et dont la manière de recevoir est aussi un don en retour.

  Tandis que je caresse sa tempe, son cou et sa nuque sous le collier, mon regard est attiré vers la courbe de son dos. Je ne peux que me régaler de la vision qui s’offre à moi, le pull moulant et le jean bien tendu de part sa position. Je savoure la vision de sa cambrure. Comment résister ? Et d’ailleurs, pourquoi résister ?! Ma main descend le long de la colonne vertébrale, jusqu’à arriver au bord du pull que je soulève . J’aime toucher la peau et je ne m’en prive pas.

Je sais que la vision peut être encore plus délicieuse alors, d’un geste ferme, je défais la ceinture, déboutonne le pantalon et, en quelques secondes je lui mets les fesses à l’air.
 Il le sait déjà, mais je le lui redis tout de même, j’aime ses courbes, faire glisser ma main le long de son dos, la faire épouser le creux puis remonter sur ses fesses… cette fois encore, je regrette de ne pas avoir l’appareil photo à portée de main, car je la vois la photo en noir et blanc qui rendrait hommage à cette partie de son corps qui éveille en moi tant d’envies.


  Mes envies, justement... ce ne sont plus mes doigts qui caressent la peau mais mes ongles qui viennent la marquer, d’abord doucement puis plus fort. Intérieurement, je maudis les jeux de cordes auxquels je sacrifie mes griffes félines… mais peu importe, une autre envie surgit déjà de le voir ainsi, indécent, pas vraiment nu mais plus tout à fait habillé non plus. Il m’en faut plus. Du bout de la cravache qui n’est jamais bien loin, je redessine les monts et les vallées, tapote légèrement ce cul tendu.
« Mets-toi en travers de mes jambes ! »
Plus qu’un ordre, c’est une invitation, certes sans équivoque mais à laquelle il répond, je le sais, avec le plaisir de l’anticipation…


  Ai-je mis quelques claques ou lui ai-je tout de suite demandé de choisir un chiffre entre 30 et 50 ? Je ne m’en souviens plus, mais je me souviens très bien de cette petite pointe d’amusement mêlée de déception lorsque je l’entends me répondre 32. « Petit joueur »… alors oui, bien sur, sans doute a-t-il craint, lui qui n’apprécie pas la douleur, que j’use de la cravache mais comment a-t-il pu penser un instant que je choisirais cet instrument dont je n’ignore rien de la cuisante morsure pour m’occuper de son cul encore tout froid. Non, c’est bien de ma main que je veux sentir la peau se réchauffer peu à peu…

  À chaque claque, il égraine à rebours comme je l’ai demandé. Mais moi, joueuse, je m’arrange, par quelques caresses entre deux, pour lui faire perdre le fil.
Soudain, un bruit attire notre attention. Je l'avais oublié celui-là: le chat manifeste sa présence juste à coté de moi à quelque centimètres du visage de ma "victime". Il réclame sa dose d'attention en se tournant sur le dos pour que je lui grattouille le ventre... "non mais, franchement, la boule de poils! tu crois vraiment que c'est le moment..."  Tout ce qu'il gagne c'est de se voir expulsé du canapé.

  Je reprends là où j'en étais. 25, 24, 23 ...

À 20, j’entends une hésitation dans la voix, l’occasion est trop belle pour ne pas la saisir :
« 20 ? tu es certain? »

Il hésite, 20 ? 21 ? il ne sait plus… et je m’en amuse car il vient de me donner l’opportunité de « corser » un peu cette fessée.
« Tu sais ce qui se passe quand on se trompe…
- Oui, il y en a plus…
- Normalement, on repart de zéro en effet. Mais là, j’ai une autre idée. Lève la tête et choisis sur mon mur à jouets celui avec lequel je vais continuer. »
Il choisit la planchette en bambou et ce choix me convient tout à fait, d’une part cela me permettra d’inaugurer cet achat récent, mais aussi parce que, même si elle a l’avantage d’être légère à manipuler, je sais que son impact large fera son effet.
Le compte à rebours reprend et, cette fois, il ne se trompe plus…

  S’il n’y avait eu cette course à l’extérieur que je ne pouvais pas remettre, il est certain que j’aurais fait subir à ce cul « réchauffé » encore bien des tourments… ce n’est que partie remise...



Lady Agnès


6 avril 2018

Aux débutant(e)s




Je partage avec vous ce texte écrit il y a 6 mois par une soumise et que je remets en avant car malheureusement d’actualité... Soumises et soumis n’acceptez pas n’importe quoi !!!


"A des paroles qui se libèrent, à des échos qui inexorablement se répercutent, m'est venu le besoin de commettre ce texte sur Fetlife, et je vous le partage ici car les informations ne sont pas toujours accessibles facilement, certains se limitent, ne savent pas, ne pensent pas que...


Alors le voici:

"Ce n'est pas parce que vous arrivez dans un "nouveau monde" que vous devez avaler des couleuvres... sous couvert de BDSM!!

- Si un parfait inconnu vous traite de sale chienne/pute dès le premier échange parce que vous êtes simplement inscrite sur un site/groupe orienté BDSM vous n'êtes pas obligée de l'accepter!!

- Si vous échangez sur internet et que des personnes veulent vous expliquer et vous faire adhérer alors que vous vous questionnez juste à ce qu'est "le vrai BDSM" vous n'êtes pas obligée de l'accepter!!

- Si vous êtes attirée par les cordes, que vous voulez juste être saucissonnée sans qu'il y ai de génitalité, mais que vous vous retrouvez la chatte béante prête à être tripotée parce que "tu comprends, il est vachement connu dans le BDSM" vous n'êtes pas obligée d'accepter!!

- Si vous envoyez un message à une personne pour lui demander de vous faire découvrir une pratique qu'elle maîtrise (parce que vous l'avez vue en action, parce que vous avez croisé les infos à son sujet) et qu'elle refuse, ça arrive. En revanche si elle vous renvoie sur quelqu'un d'autre qui ne vous inspire pas mais "tu comprends dans le BDSM... " vous n'êtes pas obligée d'accepter!!

- Si vous êtes désespérée parce que vous vous sentez moche/grosse/conne/vieille... et qu'on vous propose une séance hardcore "parce que dans le BDSM c'est ta seule chance" vous n'êtes pas obligée de l'accepter!!

- Si votre dom veut vous imposer une expérience saphique alors que ça ne vous tente pas mais qu'il vous dit que "c'est obligatoire en BDSM" vous n'êtes pas obligée d'accepter!!

- Si une connaissance vous propose de vous mettre en relation pour apprendre un truc précis/technique auprès d'un "spécialiste" et qu'il s'avère que l'entremetteur à présenté quelque chose de beaucoup plus sexuel au-dit spécialiste "parce que tu comprends, c'est pas que de la technique le BDSM" vous n'êtes pas obligée d'accepter!!

-Si vous avez un Dom dont vous êtes l'amante, qu'il a donc (au moins) une autre partenaire (qui en général ne sait pas... Alors lui est-il au courant si un autre la baise?) mais que "comme tu es ma soumise, il n'y a pas besoin de mettre de capote, on fait du BDSM" vous n'êtes pas obligée d'accepter!!

- Si dans une réunion dans un lieu public qui se veut donc un lieu neutre et sans ambiguïté vous vous sentez mal à l'aise, proie chassée, recevant des propos/gestes déplacés et que les organisateurs vous disent que "oui mais tu comprends, ici c'est BDSM" vous n'êtes pas obligée de l'accepter!!

- Si votre dom veut vous imposer d'autres partenaires alors que ça ne vous branche pas "parce que c'est comme ça en BDSM" vous n'avez pas à accepter!!

- Si lors d'une soirée (qu'elle soit privée ou a fortiori organisée par une association qui se doit d'avoir une assurance) il vous arrive un dommage corporel et qu'il n'est pas question de faire fonctionner l'assurance "parce que tu comprends ce qu'on fait c'est quand même du BDSM" vous n'avez pas à l'accepter!!

- Si lors d'une "initiation" à un instrument avec une partenaire avec qui vous n'avez aucun lien mais en qui vous avez confiance pour la partie technique et qu'il vous impose des gestes n'ayant pas lieu d'être (pincer les seins alors qu'il vous fouette le cul, "vérifier votre humidité", vous embrasser...) puisque pas autorisés au préalable de votre part mais "le Dominant fait ce qu'il veut en BDSM", vous n'avez pas à l'accepter!!

- Si vous avez la libido en berne et absolument  aucune envie de sexe mais que "comme tu es soumise tu dois passer à la casserole", vous n'avez pas (comme le "devoir conjugal") à l'accepter!!

- Si on vous dit qu "en tant que responsable de groupe/forum tu dois m'envoyer une photo de toi pour prouver ton identité parce que c'est du BDSM ici", vous (avez à vous poser des questions) n'avez pas à l'accepter!! - Si un illustre inconnu qui n'a pour toute reconnaissance que son existence sur internet vous propose de devenir votre mentor/ guide tout en vous proposant de vous enjoint à rester à l'écart d'autres personnes "parce que tu comprends, tu es jeune/ novice et il y a des prédateurs dans le BDSM", vous n'avez (qu'à fuir) pas à l'accepter!!


- Si on cherche à vous imposer une relation de vénalité, "parce que tu comprends en BDSM les soumis se doivent de s'acquitter d'offrandes à leur domina", vous n'êtes pas obligé de l'accepter !
 
- Si on veut vous imposer un contrôle sur votre corps qui vous semble hors de propos, "parce que tu comprends en BDSM les soumis s'épilent/sont minces", vous n'êtes pas obligé de l'accepter!


S'il vous plaît, croisez les infos, ne vous contentez pas d'une seule vision, n'acceptez pas aveuglément tout ce que l'on vous dit du moment qu'on y accole BDSM."

De plus si mon texte s'adresse aux femmes, ce n'est pas que je minore ou ignore les soucis rencontrés par les hommes, mais en étant une moi-même j'ai plus facilement leurs "confessions", interrogations, et elles s'avèrent bien plus loquaces que les hommes sur ces sujets..."

Miaoum


Ajout de Lady Agnès


Je vous conseille aussi vivement la lecture de cet autre article:


et de ces 2 livres "guides" (je conseille la lecture des deux, quelque soit le côté où l'on se situe) :  L'art de se soumettre et L'art de dominer