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29 novembre 2016

Une soirée aux pieds de Lady Agnès (par L.) 1/2


  J’ai rendez-vous avec Lady Agnès.
  Je quitte Paris avec hâte et m’aperçois que je vais être en retard. Le GPS me donne l’horaire d’arrivée, je suis inquiet: comment Lady Agnès va-t-elle réagir à ce manquement ? La peur me gagne peu à peu. D’autant que j’ai décidé de Lui offrir un petit cadeau et que je ne l’ai pas encore acheté. Comment faire le trajet et l’achat de ce cadeau ? J’accélère sur la route afin de rattraper un peu mon retard. C’est alors que le présentateur d’une émission sur la bande FM donne l’heure. Je ne comprends plus rien : d’après le GPS, je vais être en retard et d’après cet animateur, je suis dans le timing. Après vérification, le weekend dernier nous avons changé d’horaire mais le véhicule de location que j’ai loué n’a pas été mis à jour. Un soulagement me gagne instantanément, je me réjouis et je reprends enfin mes esprits. Oui… je serai à l’heure et j’aurai même le temps de trouver le cadeau pour Lady Agnès.
  J’ai pour consigne de L’appeler une fois arrivé devant son immeuble. D’une voix tremblante, j’ânonne que je suis devant sa porte ; Sa voix suave et envoûtante me demande de patienter et me dit « j’arrive ».
  Un peu tremblant (est-ce le froid ou l’excitation de voir Lady Agnès ?) dans cette rue sombre, je vois la porte s’ouvrir et Lady Agnès sortir m’accueillir. Elle est toujours aussi sublime et sensuelle, je ne peux m’empêcher de regarder Ses jambes qui sont enveloppées dans des bas noirs. Le spectacle est grandiose et Ses sublimes jambes sont affinées par des escarpins à talons aiguilles.
  J’entre dans Son appartement et m’empresse de Lui offrir le fouet que j’ai acheté juste avant de venir. Lady Agnès d’un regard malicieux me dit « tu auras le droit d’y goûter tout a l’heure ». Le ton est donné. Elle m’ordonne de me déshabiller, chose que j’exécute sans sourciller. Une fois que je suis nu, Elle me pose un collier et sa nouvelle cage de chasteté, toute en métal chromé et d’un poids relativement lourd. Mais devant la superbe de Lady Agnès, je ne peux m’empêcher d’avoir un début d’érection, la pose de la cage devient difficile. Alors Elle « glaçonne » et « menthole » mon sexe et il trouve enfin sa place dans cette magnifique cage.
Lady Agnès commande des pizzas pour notre soirée. Quand le livreur sonne, Elle m’ordonne de me mettre à genoux derrière la porte, toujours nu avec ce collier et cette cage chromée. Une seule idée me traverse l’esprit « pourvu que Lady Agnès n’invite pas le livreur à entrer chez Elle ».
  Durant le repas, je sers Lady puis je fais la vaisselle, une vraie petite soubrette.
  Puis, Lady Agnès me ligote avec ses cordes. Elle s’applique, une corde, puis une deuxième et me voici avec 4 cordes dans l’impossibilité de bouger. Les cordes lacèrent ma peau mais quel bonheur d’être complètement à la merci de Lady Agnès. Les mains attachées aux étais, je tourne le dos à Lady Agnès, mon fessier est à Sa merci. Je n’ose imaginer la scène.

...



23 novembre 2016

Le "sadisme" selon Lady


Quelques définitions du SADISME:


"Perversion dans laquelle la satisfaction sexuelle ne peut être obtenue qu'en infligeant des souffrances physiques ou morales au partenaire. (Pour S. Freud, le sadisme est le détournement sur un objet extérieur de la pulsion de mort.) Plaisir pris à faire souffrir, jouissance tirée du malheur des autres."
Larousse

"Deleuze fait une distinction entre un comportement sadique, c'est-à-dire recouvrant le besoin d'infliger des souffrances à autrui pour éprouver un plaisir sexuel, sans s'assurer du consentement du sujet, et le comportement sadomasochiste contractuel : il démontre que le masochisme n'est ni contraire ni le complément du sadisme, mais un monde à part, avec d'autres techniques et d'autres effets. Les actes sadiques, telles que la torture, sont émis sans le consentement de l'autre, tandis que le BDSM  relève de pratiques entre adultes consentants, régies par des règles et accords tacites."
Wikipédia

(Note: les mots en couleur soulignés sont "cliquables")


  Certains soumis, à la lecture de mon blog ou des resultats du test BDSM que je mets parfois dans mon profil sur certains sites, ont "les choquottes".
Il est vrai qu'un pourcentage de 95% de sadisme dans un tel test ou que la lecture des flagellations que j'impose à certains, peut effrayer (heureusement, pas tout le monde...)
Il me semble donc intéressant de vous parler de "mon sadisme" .

  Bien sur, je ne cache pas mon gout pour une bonne session de martinet ou de fouet très intense qui laisse la peau de mes soumis rouge et marbrée de belles marques. Je ne cache pas non plus le plaisir intense que cela me procure. Demandez aux soumis à qui j'ai fait subir ce traitement ou aux personnes que je rencontre en Munch et ils vous diront à quel point mon regard étincelle rien que d'en parler. Et j'ai, en ma possession, bien des jouets capables de faire ressentir une douleur cuisante.Il est vrai aussi, que je ne supporte pas les petites choses douillettes qui chouinent au moindre tapotement de cravache sur le cul.

  Pourtant, et cela va peut-être en étonner certains, j'ai eu l'occasion de refuser un aspirant soumis qui m'avait écrit: "je veux que Vous me fouettiez. Si je pleure, si je crie et même si je Vous supplie, il ne faudra pas arrêter."
Certaines Dominatrices prennent un réel plaisir à faire souffrir leurs soumis, je ne juge pas, je dis juste chacun ses goûts.
  Pour ma part, ce qui me donne du plaisir dans une flagellation, ce n'est pas la souffrance , mais bien le plaisir pris dans la douleur. Pour moi, rien de plus frustrant qu'un soumis qui encaisse stoïque, sans un mot, sans un son ou dont le corps reste de marbre. J'aime entendre les gémissements où douleur et plaisir se mélangent, voir onduler le corps sous mes lanières de cuir ou sous ma main ferme, sentir ce moment où un flot d'endorphine envahit un soumis ne lui laissant que plaisir et où il ne se rend même plus compte de l'intensité  de mon geste (
le fameux "subspace", c'est d'ailleurs à ce moment, que la flagellation cesse). Et pour obtenir cela, il n'est pas toujours utile d'y aller comme une brute. 


  Bien entendu, la douleur est un formidable levier pour amener un soumis à mieux servir sa Maîtresse et il est aussi un don que le soumis fait à sa Maîtresse. Mais, dans la pratique, le sadisme peut aussi se traduire dans bien d'autres pratiques qui n'incluent aucune douleur physique.
Si vous avez vu le film "la secrétaire", je suis certaine que vous vous rappelez de cette scène où la dite-secrétaire prépare, apporte et sert le café avec une barre d'entravement reliée entre les mains en passant par le cou. Essayez de le faire et, après, venez me dire que d'infliger cette épreuve n'est pas du sadisme...
Prenons un autre exemple que j'ai trouvé une fois sur un blog et qui, depuis, me fait encore plus regretter de ne plus avoir de jardin: faire tondre la pelouse à un soumis uniquement équipé d'une paire de ciseaux (dans le blog, il s'agissait carrément de ciseaux à ongles!). Pour un soumis qui prend du plaisir à servir sa Maîtresse dans les tâches les plus ingrates, il y a là une double satisfaction: d'une part, parce qu'il la sert en tondant sa pelouse, mais aussi parce qu'il satisfait le plaisir sadique de celle-ci à le voir peiner à la tâche. 

Je pense qu'une Dominatrice qui aime humilier est toujours sadique, tandis que l'inverse ne l'est pas forcement.

  Si vous y réfléchissez, bien des pratiques humiliantes demandent une bonne dose de sadisme de la part de la Maîtresse comme l'orgasme ruiné (pour ne parler que de l'un des plus emblématiques). Un de ceux dont je me délecte le plus, c'est bien la cage de chasteté: voir l'air penaud que certains ont de voir leur sexe ainsi emprisonné et cette crispation sur le visage au moindre prémice d' érection. Et pourtant, nombreux sont les soumis qui n'envisagent pas de servir leur Maîtresse sans être encagés.

  Je finirai donc en disant que, dans le BDSM, "sadisme" ne signifie pas forcement douleur physique (d'ailleurs, quoi de plus sadique que de refuser une correction à un masochiste) et 
 qu'il n'y a pas de sadique s'il n'y a pas de masochiste consentant.



N'oublions jamais que sans soumis, il n'y a pas de Dominant.



Lady Agnès



18 novembre 2016

Un dimanche soir (par Clara)


Lady m’a mis la cage de chasteté. Ce n’est pas par là que je vais jouir ce soir ! 

Nous mangeons un petit plat que j’ai préparé en cuisine, rien de compliqué ! Je ne suis pas bonne cuisinière.

Je peux enlever mon tablier et faire apparaître mes dessous. Lady me dit d’ouvrir sa boîte à joujoux, de choisir moi-même un gode. J’en prends un, pas trop gros mais qui a tout pour m’exciter. Je le fais glisser sur mon corps, mes fesses, ma bouche, retour aux fesses. Il trouve son chemin tout seul. Je fais cela devant Lady qui me regarde … ça Lui plait, ça m’excite ! je m’exhibe comme cela quelques instants. Je suis Sa pute qu’elle a fait venir ce soir. Elle sait que j’aime. Je Lui dis, Elle aime m’entendre Lui dire. Lady me demande de choisir le jouet suivant.
Elle me montre plusieurs martinets et fouets. Finalement je choisis celui qui a de longues lanières. Il s’avère que c’est un cadeau qu’Elle n’a encore utilisé qu’une fois. Celui qui est censé faire le plus mal … je me penche pour Lui offrir mon cul. J’attends le premier coup. Il arrive. Je supporte chaque coup qu’Elle m’assène. Mon plaisir monte, mon souffle est court. J’en redemande ! Petit à petit, je perds tout sens de ce qui m’entoure. Les coups me brûlent. C’est bon ! Je suis partie. Lady l’a vu. Elle s’arrête, me fait m’asseoir sur son pouf pour retrouver mes esprits. Elle se place devant moi, debout. J’ai le droit d’enlacer Ses jambes, Ses cuisses. Mes mains se font baladeuses, mais pas trop. Je n’ai pas le droit. Pourtant j’aimerais poser mes lèvres sur Ses cuisses, Ses fesses pour La remercier du plaisir qu’Elle me procure. Elle est belle, droite devant moi !

Ce soir-là, c’est sur son gode-ceinture que je vais jouir. Lady m’a accordé la position que j’affectionne tant : assise sur Elle qui est sur le dos. 
Merci Lady.
Clara


Commentaire de Lady:
  
  Ma "petite Clara", dans ce texte, tu as oublié le plus important de cette soirée.
Souviens-toi bien de ce que je t'ai dit, ce soir-là, quand tu t'es retrouvée à mes pieds: dorénavant, je t'imposerai une discipline bien plus stricte!

  C'est bien sympathique de te voir te comporter comme une petite délurée mais il va falloir que tu apprennes aussi à canaliser tout cela et à te comporter en chienne racée. Ne plus être une petite tapineuse assoiffée de bites, mais une pute classe et distinguée, qui ne se jette pas sur la première braguette venue.


  Le chemin sera peut être long, mais je ne doute pas que tu y parviendras.
Alors, je pourrai être fière de toi. Fière de montrer quelle bonne petite soumise j'ai à mon service lors de dîners ou de soirées avec d'autres soumis à mes pieds.


Quel plus grand honneur que d’être l'objet de fierté de sa Maîtresse?


Lady Agnès


11 novembre 2016

Clara



Quel dommage! les marques de mon nouveau jouet avaient déjà disparu.


Lady Agnès